La bienveillance

La parentalité positive

Qu’est ce que c’est?

Il est évident que presque tous les parents (je met l’accent sur le « presque » car j’ai déjà été confrontée de par mon métier à de personnes qui n’ont de »parents » que ce qu’on leur attribue), veulent le meilleur pour leurs enfants, d’autant plus en matière d’éducation.

A savoir que chacun à sa propre vision de l’éducation et qu’il n’est pas toujours facile de s’accorder entre parents à ce sujet.

Parmi les différents courants en matière d’éducation que j’ai pu découvrir, une façon de faire à retenu mon attention. Il s’agit de la parentalité positive qui n’est autre que l’éducation bienveillante.

Bien plus qu’une simple méthode d’éducation, elle englobe toute la relation avec son enfant et permet de mieux le connaître pour pouvoir le comprendre.

La base de celle-ci est d’essayer véritablement de se mettre à la place l’enfant d’autant plus dans les moments de crises.

Le respect de ses besoins et une écoute attentive et sincère sont les clefs de cette approche.

Guider et non contrôler.

Il faut tout de même veiller à garder une certaine autorité sur l’enfant car il a besoin de repères, mais une autorité réfléchie et appliquée avec tact et douceur.

Selon la parentalité positive, un enfant qui se comporte mal cherche à exprimer un besoin.

Il faudra veiller à regarder la situation du point de vue de l’enfant afin de mieux comprendre ce qu’il traverse.

Mon petit Leonardo, de bientôt 3 ans, face à son cousin du même âge, jouent tous les deux aux petites voitures. L’un prend un camion et tout de suite l’autre veux lui reprendre, s’en vient à ce moment les cris et les pleurs des deux enfants qui souhaitent le même jouet à ce moment,mais ne parviennent pas à trouver un solution par eux-même. La frustration de celui qui n’a pas le camion paraît subitement immense et d’un point de vue adulte, risible. Il n’en est pas de même pour l’enfant chez qui la frustration ne sait s’extérioriser qu’en crise de pleurs.

A cet instant, l’enfant est déboussolé face à ce nouveau sentiment qui va l’envahir, il a ce moment besoin d’être guider et surtout compris par le parent.

J’ai pu remarquer qu’avec cette approche, les crises diminuent et se gèrent un peu mieux.

Il ne s’agit pas d’essayer d’être le meilleur parent (qui n’existe pas d’ailleurs) mais un parent plus à l’écoute de son enfant.

Il y a un livre particulièrement bien écrit par Isabelle Filiozat, psychothérapeute, que j’affectionne particuliérement, qui explique cela de façon plus concise dans son livre « J’ai tout essayé ».

 

by Virginie S.

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